Véritable scandale sanitaire. Une santé publique en péril. Les images ont bombardé depuis hier 22 juillet la toile et chacun a vu et su que la farine YES tue ou peut tuer. Il est difficile de savoir presqu'impossible la date exacte à laquelle ces farines nocives et dangereuses ont été mises en vente et quel numéro de lot faudra enlever de la chaîne commerciale. Ce n'est pas le CECOQDA qui nous en dira plus.
Silence complice du gouvernement
Devant ce scandale où les consommateurs ne savent plus s'ils sont malades de YES, le gouvernement, qui est sensé prendre la parole à travers le ministère de la santé publique, n'a eu pour stratégie que le silence. Rien n'a été dit. Aucun communiqué officiel interdisant la vente de la farine YES encore moins une déclaration ou une autre formation de communication. L'on n'a envie de savoir si entre la direction générale de l'entreprise YES et le gouvernement les pots de vin aurait coulé, au vu de la proposition qu'a faite le Directeur Général de cette entreprise au Journaliste Moïse Dabesne, lui demandant d'apporter un démenti officiel contre une somme d'argent.
Ce qui est sûr, c'est que la vie des consommateurs est en danger. L'incertitude est grandiose. Impossible de savoir quand on pourra commencer à consommer aisément la farine YES et avec quelles notices sanitaires.
Vivement, que la lumière soit faite.
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